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09/03/2013

"C'est l'horloge du peuple. Si vous êtes en retard sur le peuple, tant pis pour le soleil et tout son système !"

240px-Don_camillo.jpgPeppone et Don Camillo se disputent pour que leur horloge - celle du clocher et celle de la Maison du Peuple - soit la première à annoncer l'heure. Chacun à tour de rôle avance l'heure de deux minutes. On assiste à cette conversation :

- Tu as encore avancée ta sale mécanique ?

- Vous n'imaginiez pas que nous allions rester en retard sur la réaction?

- Le clocher est à l'heure du soleil. Le soleil fait pas de politique, et ton horloge avance.

- C'est l'horloge du peuple. Si vous êtes en retard sur le peuple, tant pis pour le soleil et tout son système !

- Seigneur, protégez-vous, la Terre leur suffit plus, ils vont refaire l'univers !

Les pensées totalitaires ont ceci de commun qu'elles croient naïvement que si elles ordonnent, la nature obéira. Mais Dieu pardonne toujours. L'homme parfois... La nature jamais !

| Commentaires (0) |  Facebook | | | Isabelle

08/03/2013

C'est ensemble que Dieu nous a créés à son image.

Je vous aime, les hommes, sans vous qui serais-je ? C'est ensemble que Dieu nous a créés à son image. Toutes les dérives qui tendent à nous séparer m'effraient et m'attristent. Ce fossé qui nous sépare fut le premier engendré par le Péché Originel, la première de toutes ces terribles conséquences qui frappent l'humanité. Première parce que le Mal a voulu frapper en premier lieu ce qu'il existait de plus beau...

Ce qui était le premier drame de l'humanité, le plus tragique, le plus profond, devient maintenant dans la bouche de certain(e)s une "révolution". 

Une révolution, c'est un tour complet. De même que la Terre, immanquablement, après avoir voyagé dans l'espace, revient à son point de départ, l'humanité en revient toujours au même point. Comme si nous étions condamné à la haine, la division entre nous, la soumission sans amour, l'irresponsabilité, la violence symbolique ou réelle de Femen aggressives ou de pratiques avilissantes. 

Une révolution, c'est un cercle vicieux...

Mais je crois fermement que, si nous voulons, nous pouvons quitter le cercle de ce monde pour nous lancer vers un au-delà différent, intrinséquement, fondamentalement, incroyablement différent.

Car s'aimer, ce n'est pas se regarder l'un l'autre. C'est regarder ensemble dans la même direction.

La journée de la femme "libérée" de l'homme, c'est la journée de la femme prisonnière d'elle-même. Ce sera sans moi.

Publié dans Cité, Dieu | Commentaires (1) |  Facebook | | | Isabelle | Tags : 8 mars, journée de la femme, gender